Pocognoli : « Se mettre dans une position plus confortable »

L’AS Monaco risque de jouer gros ce mardi, en affrontant Bodö/Glimt en Ligue des champions. Le bilan comptable des Monégasques n’est pas très bon, avec seulement deux points en trois matches : « On se concentre d’abord pour faire une bonne prestation, même si on connaît notre bilan comptable, a répondu Sébastien Pocognoli. Je pense qu’un point contre Manchester City et face à Tottenham, ne sont pas forcément des mauvais résultats. Forcément, quand tu perds des points à Bruges, il faut les rattraper. Nous avons un match demain où il faut combler cela. Après ce déplacement, nous serons à la moitié de cette phase de ligue. (…) Tout est encore possible. Mais si on gagne, on pourra se mettre dans une situation plus confortable. »

En Norvège, dans des conditions très particulières, l’ASM devra éviter le traquenard contre une équipe très forte à domicile : « Je les connais bien parce que je les ai affrontés avec l’Union Saint-Gilloise à Bruxelles. (…) Je connais leur équipe, leur style de jeu mis en place par l’entraîneur puisqu’il y a beaucoup de visages similaires. J’ai du respect pour eux parce qu’ils montrent de nombreuses qualités, ils méritent d’être là où ils sont. (…) Nous savons où nous sommes car nous avons pu voir plusieurs équipes être surprises la saison dernière sur ce terrain. Nous savons que ce sera un match difficile, parce que Bodö est très solide à domicile. (…) Ils ont beaucoup de qualités mais leur point fort est le collectif parce qu’ils ont créé des automatismes depuis quelques années. »

Une des aspects les plus délicats à maîtriser sera la surface de jeu. La pelouse du club norvégien n’est pas une pelouse naturelle mais en synthétique : « On n’a pas eu le temps de s’entraîner dessus en France, on le fera aujourd’hui ici. On doit s’adapter à cet environnement et à ce terrain synthétique. Nous avons de jeunes joueurs qui ont grandi sur ce type de terrains, tandis que nous, les plus anciens, n’avons pas toujours joué sur de bonnes pelouses. Ça fait partie du football, il n’y a rien de plus à dire. »

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