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Puygrenier raconte le plus gros coup de gueule de Guy Lacombe

Dans l’édition du jour de L’Équipe, Sébastien Puygrenier s’est prêté à l’exercice du Paroles d’ex, et a notamment relaté quelques anecdotes sur son passage à Monaco (2009-2011). Il est notamment revenu sur une engueulade mémorable de Guy Lacombe dans le vestiaire : « Après une défaite, on voit qu’il n’a pas dormi. Dans le vestiaire, ça part : « Vous n’êtes que des branleurs ! Une équipe, c’est ça (il cogne un poing contre la paume de son autre main) ! Là je fais mal, là c’est solide ! Mais vous, c’est ça ! » Et à nous tous, il nous fait un doigt d’honneur un par un ! Il nous dit : « Je pourrais vous montrer ce doigt, mais j’ai envie de vous montrer celui-là aujourd’hui ! » »

L’ancien défenseur central a apprécié la compagnie de François-Jospeh Modesto, alors qu’il le détestait lorsqu’il l’affrontait : « Je n’aimais pas du tout François Modesto, je trouvais qu’il se la racontait, sur le terrain c’était une petite p…, à te mettre les doigts dans les yeux, ça partait en insultes. Je signe à Monaco (en 2009), je me dis : « Oh là là, je vais voir Modesto… » Et le premier sur lequel je tombe au vestiaire, c’est lui ! En fait, c’était une crème et un sacré chambreur. Jean-Jacques Gosso s’habillait fashion et François lui sort une fois : « Oh Gosso, tu n’as plus l’électricité chez toi ? Tu t’es habillé dans le noir ? » On pleurait de rire. Je l’ai surkiffé. »

Si Puygrenier a vécu de bons moments à Monaco, il a aussi connu la relégation en Ligue 2. Une situation délicate dont certaines recrues de l’hiver, venues tenter de tirer l’ASM de ce mauvais pas, n’ont visiblement pas pris la mesure, tel que Pascal Feindouno : « Je suis avec Grégory Lacombe et un pote à lui l’appelle : « Il n’y avait pas entraînement pour ceux qui n’ont pas joué ? Car Feindouno boit des mojitos en terrasse ! » Le lendemain, Pascal arrive grand sourire et l’adjoint lui dit : « Mais tu n’es pas venu hier ? En plus, c’était travail devant le but ! » Et là, Pascal répond : « Mais je n’avais pas compris ! Et ça, je l’ai déjà fait quand j’étais à Saint-Étienne (rires) ! » »

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