Quantcast

Diatta : « Faire quelque chose de grand »

L’AS Monaco a frappé grand coup en s’imposant sur la pelouse de Brest (2-0), ce dimanche. Krépin Diatta, titularisé comme piston gauche a trouvé que l’ASM avait eu la bonne attitude pour aborder cette rencontre très importante de ce sprint final : « C’était un match très, très important. Brest est une équipe qui est en train de faire une très, très grande saison. On était conscients de ça, mais nous aussi, on est sur une très bonne lancée et on avait à cœur de venir gagner, même si on savait que ça allait être difficile, a réagi le Sénégalais au micro de Prime Video. Aujourd’hui dans l’attitude, on a été costaud, on a bien défendu, on a été réalistes. On montre qu’on avait des ambitions et on veut faire quelque chose de grand cette saison. »

Monaco n’a pas encore atteint son objectif de jouer la Ligue des champions mais s’en rapproche petit à petit et tout le monde se sent concerné en cette fin de saison : « Le coach veut des guerriers, des joueurs qui donnent tout sur le terrain. On est cette équipe. Il a besoin de tout le monde et on essaie tous de répondre présent quand on a l’opportunité pour le faire. C’est tout un groupe, pas seulement le travail de quelques joueurs. Dans cette équipe, il y a comme un sentiment de famille. Tout le monde a les mêmes objectifs et on veut faire quelque chose de grand pour l’AS Monaco, parce que ce club le mérite. Depuis que je suis ici, on court derrière la Ligue des champions. Ce n’est pas encore fait mais on peut y arriver en restant constant. »

L’international sénégalais a tout de même reconnu que la première mi-temps des Monégasques n’avait pas été bonne : « J’étais un peu esseulé quand j’avais le ballon en première période. En seconde, j’avais Minamino et Balogun qui venaient et Akliouche qui rentrait, ce qui me permettait de combiner et c’est ce que j’aime. Ça n’a pas été une bonne première période. On a été timides, peut être à cause de l’enjeu du match, en voulant bien faire les choses. Mais on a raté notre première période, il faut le reconnaître. En deuxième, quand le coach nous a parlé dans le vestiaire, on s’est lâchés, on a commencé à combiner, il y a eu du jeu, il y a eu aussi cet état d’esprit de combattant. On est revenus dans nos standards. »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.